Et un, deux, trois pas... (PV Simbad)

Un coup d'oeil à gauche, un à droite, en haut, en bas, derrière, devant, tour d'horizon: Rien à signaler. Ce n'était pas tout à fait l'heure de la chasse; le soleil répandait encore un peu de lumière rouge sang sur les feuilles. Mais Ndawema avait faim. Très, très faim. La nuit dernière n'avait pas été bonne pour la chasse; elle avait préféré continuer ses trottinements jusqu'à l'aube plutôt que de s'arrêter pour trouver quelques rats. Hier elle n'avait pas faim; un faisan avait passer juste devant le terrier qu'elle avait envahit, à peine la lune avait-elle monté dans le ciel. Aujourd'hui c'était différent. Elle ne devrait pas sortir, pas avant une heure, peut-être deux. Mais les hautes herbes juste devant elles prommetaient des souris, des mulots et peut-être un bon gros rat.

Le ventre rasant le sol, la tête et la queue basse, les oreilles bien ouverte, le coyote glissa hors des fougères. Elle fit bien attention de ne pas se trouver très loin d'un petit fossé remplit de ronces; un bond ou deux et elle y était, si un danger survenait. Son museau s'activant, elle trouva vite ce qu'elle cherchait: une boule d'herbe avec, à l'interieur, un rat des champs endormi. S'approcher sans faire de bruit ne servant à rien à la chasse aux petits rongeurs, elle utilisa la technique la plus efficace. Évitant de poser les pattes directement sur le sol -car la souris aurait sentit les vibrations- elle s'approcha en s'appuyant doucement sur les touffes d'herbes vertes et molles qui poussait entre les feuilles craquante. Un pas, deux pas, trois pas. Finalement, son museau se retrouva juste au dessus du nid.

Sa queue s'agita doucement: c'était son moment favori. Ndawema se cabra rapidement, joignit les pattes et bondit de tout son poid sur le rat. Parfois, cela les assommait, certains s'en sorta était seulement étourdis. Plus rarement, elle les ratait completement et les petites bêtes se mettaient à courrir. Dans ces cas-là, le coyote ne se donnait même pas la peine de les chasser, la poursuite demandant plus d'énergie qu'il n'y avait de viande.

Cette fois-çi, elle glapit joyeusement en sentant un craquement sous ses coussinets: le rat était mort. L'impact, aider par la chance, avait probablement cassé la nuque. Ndawema était bien contente car, même si elle aimait jouer, prolonger les souffrances de ses proies ne faisait pas partit de ses passes-temps. Fourrageant dans le nid, elle attrapa le petits corps chaud et le lança, oubliant pour un moment qu'elle devait surveiller les environs. D'un claquement de machoir, elle avait déjà engloutit la moitiée du rat. Sa queue battant l'air, elle s'attaqua avec entrain à la deuxième part entre ses pattes, à demies couchée sur le sol.

C'était un magnifique couché de soleil que l'on avait là. Comme à on habitude, Simbad regradait le couché du soleil. Il adorait sa. Au bout de quelsues minutes, il se leva, et partit ce promener, Baigné dans le lumiére rougeâtre du soleil. Au bout de quelques minutes de marche, il arriva à la savane. Il était émerveillé, la lumiére traversant les herbes hautes la savane donnait un spectacle magnifique. Il se coucha dans les herbes hautes, celà le rendait pratiquement invisible. Il s'endrmit, mais gardait une oreille en éveil, en cas de danger. Au bout d'un certain temps, il entendit un glapissement. Un glapissement de joie. Il se leva, tapis dans l'herbe, et s'approcha doucement. Il vit un coyote, où plutot une coyote, âvec un rat mort à ses pieds, à moitié dévoré. Son repas sûrement. Comme elle avait l'air innofensive, Simabd sortit doucement des hautes herbes, et lorsqu'il fut complétement visible, lui dit d'un ton amical :
-Bonjour ! Je suis Simbad, du clan de la sagesse. Je ne t'ai jamais vu dans les parages. Qui est-tu ? ^^